Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
Peintre Fabian . Perez.
Les Oeuvres de :
FABIAN. PEREZ.
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Ayant grandi en Argentine, Fabian Perez - Peintre Argentin , a développé un penchant pour l'art à travers ses parents, qui possédaient de solides côtés créatifs, mais n'ont jamais été des artistes professionnels. Sa mère a appelé, et il déteint sur Perez , qui a excellé dans des cours d'art et des peintures murales peintes sur les murs de son école à des demandes de ses professeurs.
Les histoires et des photographies de ce qui s'est passé à l'intérieur filtrés retour à Perez , et l'air de la sensualité et le romantisme se trouvent dans les portraits de femmes et de scènes de boîte de nuit qu'il peint aujourd'hui. Une autre forte influence dans le futur artistique de Fabian Perez, il a été un instructeur d'arts martiaux, il a commencé à étudier quand il avait 18 ans, la même année, son père est mort. C'est un moment difficile dans la vie de Perez , car sa mère aussi était décédée trois ans plus tôt.
A 22 ans, Perez a déménagé avec l'instructeur de l'Italie où il a passé sept ans à développer son art et l'écriture d'un livre intitulé " Réflexions d'un rêve ", qui était publié plus tard aux États-Unis. Après l'Italie , il a déménagé au Japon et peint pendant deux saisons qui sont maintenant exposées dans une maison du gouvernement. Après une année, il s'installe à Beverly Hills où il est actuellement artiste et residant. Quand Fabian Perez capte une personne ou un endroit sur la toile, il ne fait pas que dépeindre la beauté extérieure Il puise dans l'humeur du moment et laisse une sensation puissante dans le sillage de ses coups de pinceau.
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.
Tes yeux où rien ne se révèle
De doux ni d'amer,
Sont deux bijoux froids où se mêlent
L’or avec le fer.
A te voir marcher en cadence,
Belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse
Au bout d'un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D’un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l'eau.
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants,
Quand l'eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents,
Je crois boire un vin de bohême,
Amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème
D’étoiles mon cœur !
Charles Baudelaire,
Commentaires
Bonjour Lyna,
je connais bien ces peintures mais ne connaissais pas du tout le peintre et encore moi sa vie c'est un véritable artiste et suprême un poème de Baudelaire pour parfaire le tout un article comme je les aiment.
Je te souhaite un agréable jeudi ensoleillé et espère que tout vas bien pour toi.
Gros bisous tendresse
Nanou