Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
Peintre Aquarelliste PETER MOTZ
Peter Motz est né à Rotterdam en 1934.
Depuis 1962, il s'intéresse sérieusement à la peinture et a renoncé à sa profession pour exercer ses talents créatifs à temps plein.
Chaque scène de paysage, fleurs ou jardin des peintures de Peter Motz exprime son amour pour la beauté avec une grande délicatesse , la douceur et la réalité. Son travail est d'une classe exceptionnelle.
J'ai bâti une maison au milieu de l'Océan
Ses fenêtres sont les fleuves qui s'écoulent de mes
yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
Maison humide
Maison ardente
Saison rapide
Saison qui chante
Les avions pondent des œufs
Attention on va jeter l'ancre
Attention à l'encre que l'on jett-;
Il serait bon que vous vinssiez du ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe
Les poulpes terrestres palpitent
Et puis nous sommes tant e~ tant à être nos propres
fossoyeurs
Pâles poulpes des vagues crayeuses ô poulpes aux becs
pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu connais
Et qui ne repose jamais
J'ai bâti une maison au milieu de l'Océan
Ses fenêtres sont les fleuves qui s'écoulent de mes
yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
Maison humide
Maison ardente
Saison rapide
Saison qui chante
Les avions pondent des œufs
Attention on va jeter l'ancre
Attention à l'encre que l'on jett-;
Il serait bon que vous vinssiez du ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe
Les poulpes terrestres palpitent
Et puis nous sommes tant e~ tant à être nos propres
fossoyeurs
Pâles poulpes des vagues crayeuses ô poulpes aux becs
pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu connais
Et qui ne repose jamais
Ses fenêtres sont les fleuves qui s'écoulent de mes yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
Maison humide
Maison ardente
Saison rapide
Saison qui chante
Les avions pondent des œufs
Attention on va jeter l'ancre
Attention à l'encre que l'on jette
Il serait bon que vous vinssiez du ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe
Les poulpes terrestres palpitent
Et puis nous sommes tant et tant à être nos propres fossoyeurs
Pâles poulpes des vagues crayeuses ô poulpes aux becs pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu connais
Et qui ne se repose jamais
Loin des grands rochers noirs que bise la marée,
La mer calme, la mer au murmure endormeur,
Au large, tout là-bas, lente s’est retirée,
Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt.
La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage,
Au profond de son lit de nacre inviolé
Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage,
Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé.
La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire,
À l’écart, en secret, son immense tourment,
Que la fauve amoureuse, au large se retire,
Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse,
Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux :
L’âme des océans frémit comme une épouse
Sous le chaste baiser des impassibles cieux.
Nérée Beauchemin
J'ai bâti une maison au milieu de l'Océan
Ses fenêtres sont les fleuves qui s'écoulent de mes
yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
Maison humide
Maison ardente
Saison rapide
Saison qui chante
Les avions pondent des œufs
Attention on va jeter l'ancre
Attention à l'encre que l'on jett-;
Il serait bon que vous vinssiez du ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe
Les poulpes terrestres palpitent
Et puis nous sommes tant e~ tant à être nos propres
fossoyeurs
Pâles poulpes des vagues crayeuses ô poulpes aux becs
pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu connais
Et qui ne repose jamais
J'ai bâti une maison au milieu de l'Océan
Ses fenêtres sont les fleuves qui s'écoulent de mes
yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles
Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
Maison humide
Maison ardente
Saison rapide
Saison qui chante
Les avions pondent des œufs
Attention on va jeter l'ancre
Attention à l'encre que l'on jett-;
Il serait bon que vous vinssiez du ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe
Les poulpes terrestres palpitent
Et puis nous sommes tant e~ tant à être nos propres
fossoyeurs
Pâles poulpes des vagues crayeuses ô poulpes aux becs
pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu connais
Et qui ne repose jamais
Commentaires
Elles sont fraiches et délicates ces aquarelles, elles me donnent envie de PRINTEMPS nomdidiou!!!
Bisous tout mouillés, tout venteux, tout tempêtueux!
Bonsoir
Félicitation pour la photo du jour!
Bisous
Bonjour Lyna,
je te remercie pour tes voeux pour mon anniversaire, c'est la 1er année que je ne fais rien sur mon blog pour cette occasion je n'ai pas le moral au beau fixe et me fait de plus en plus rare.
J'espère reprendre de poil de la b^te avec les beau jours.
En attendant j'espère que pour toi tout vas bien et te souhaite une belle semaine à venir.
Je t'embrasse tendrement.
Nanou qui t'oublie pas
Bonjour Lynablue, bravo pour la photo du jour, merci de nous faire découvrir ce peintre qui a beaucoup de talent, j'aime beaucoup ses peintures très chatoyantes. Bonne journée. fanfan76
Compliments pour la photo du jour et pour cet éclairage sur ce peintre....
Jakin,