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Titre du blog : BULLE DE VIE
Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
 
posté le 22-12-2013 à 11:50:34

HIVER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C' Est  L'Hiver.....................

 

 

 

 

 

+.+.+.+.+.+.+.+.+

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L'Hiver est arrivé, Le 21 Décembre .....

 

 

 

 

L ' HIVER

 

 

 

 

Tout doucement il est entré,

Sans faire de bruit, à pas veloutés,

Gardant avec lui cette année,

Dans une poche bien cachée,

Le soleil en amitié.

Quelle surprise et même étonné,

D'un temps clément et appaisé,

A l'approche de Noèl et des fêstivités,

L'hiver vient d'arriver

Apportant avec lui des douceurs de fin d'été,

Des airs de printemps inachevés, ou d'Automne attardés ?

Comment ne pourrai-je pas apprécier ?

Ce temps si doux et léger,Qui semble s'amuser ....

Avant qu'il ne se fâche avec fermeté,

Que le soleil soit chahuté et chassé,

Par des bourrasques de vent et de pluies mélées,

Les flocons de neige viendront tourbillonner,

Papillonner et virvolter à volonté ...

Pour laisser place aux paysages enneigés,

L'hiver sera enfin arrivé,

Pour le plaisir des enfants enchantés.........

Qui glisseront avec joie et gaieté dans la nouvelle année...

 

                                                          Lynablue

 

 

 

 

  

"  NOEL AU BALCON ,  PAQUES AUX TISONS .........  "

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fantaisie d’hiver

 

 

Le nez rouge, la face blême,
Sur un pupitre de glaçons,
L'Hiver exécute son thème
Dans le quatuor des saisons.

Il chante d'une voix peu sûre
Des airs vieillots et chevrotants;
Son pied glacé bat la mesure
Et la semelle en même temps;

Et comme Haendel, dont la perruque
Perdait sa farine en tremblant,
Il fait envoler de sa nuque
La neige qui la poudre à blanc.

 

                                                           Théophile Gautier

 

Plein de colère et de raison,

Contre toi, barbare saison,

Je prépare une rude guerre,

Malgré les lois de l’univers,

Qui de la glace des hivers

Chassent les flammes du tonnerre,

Aujourd’hui l’ire de mes vers

Des foudres contre toi desserre.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tous nos arbres sont dépouillés,

Nos promenoirs sont tout mouillés,

L’émail de notre beau parterre

A perdu ses vives couleurs,

La gelée a tué les fleurs,

L’air est malade d’un caterre,

Et l’œil du ciel noyé de pleurs

Ne sait plus regarder la terre.

La nacelle, attendant le flux

Des ondes qui ne courent plus,

Oisive au port est retenue ;

La tortue et les limaçons

Jeûnent perclus sous les glaçons ;

L’oiseau sur une branche nue

Attend pour dire ses chansons

Que la feuille soit revenue.

Le héron, quand il veut pêcher,

Trouvant l’eau toute de rocher,

Se paît du vent et de sa plume ;

Il se cache dans les roseaux

Et contemple, au bord des ruisseaux,

La bise contre sa coutume

Souffler la neige sur les eaux

Où bouillait autrefois l’écume.

Les poissons dorment assurés,

D’un mur de glace remparés,

Francs de tous les dangers du monde,

Fors que de toi tant seulement,

Qui restreins leur moite élément

Jusqu’à la goutte plus profonde,

Et les laisses sans mouvement,

Enchassés en l’argent de l’onde.

- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/contre-lhiver#sthash.wmYcdXMU.dpuf

 

 

Plein de colère et de raison,

Contre toi, barbare saison,

Je prépare une rude guerre,

Malgré les lois de l’univers,

Qui de la glace des hivers

Chassent les flammes du tonnerre,

Aujourd’hui l’ire de mes vers

Des foudres contre toi desserre.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tous nos arbres sont dépouillés,

Nos promenoirs sont tout mouillés,

L’émail de notre beau parterre

A perdu ses vives couleurs,

La gelée a tué les fleurs,

L’air est malade d’un caterre,

Et l’œil du ciel noyé de pleurs

Ne sait plus regarder la terre.

La nacelle, attendant le flux

Des ondes qui ne courent plus,

Oisive au port est retenue ;

La tortue et les limaçons

Jeûnent perclus sous les glaçons ;

L’oiseau sur une branche nue

Attend pour dire ses chansons

Que la feuille soit revenue.

Le héron, quand il veut pêcher,

Trouvant l’eau toute de rocher,

Se paît du vent et de sa plume ;

Il se cache dans les roseaux

Et contemple, au bord des ruisseaux,

La bise contre sa coutume

Souffler la neige sur les eaux

Où bouillait autrefois l’écume.

Les poissons dorment assurés,

D’un mur de glace remparés,

Francs de tous les dangers du monde,

Fors que de toi tant seulement,

Qui restreins leur moite élément

Jusqu’à la goutte plus profonde,

Et les laisses sans mouvement,

Enchassés en l’argent de l’onde.

- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/contre-lhiver#sthash.wmYcdXMU.dpuf

 

 

 

 

 

Plein de colère et de raison,

Contre toi, barbare saison,

Je prépare une rude guerre,

Malgré les lois de l’univers,

Qui de la glace des hivers

Chassent les flammes du tonnerre,

Aujourd’hui l’ire de mes vers

Des foudres contre toi desserre.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tous nos arbres sont dépouillés,

Nos promenoirs sont tout mouillés,

L’émail de notre beau parterre

A perdu ses vives couleurs,

La gelée a tué les fleurs,

L’air est malade d’un caterre,

Et l’œil du ciel noyé de pleurs

Ne sait plus regarder la terre.

La nacelle, attendant le flux

Des ondes qui ne courent plus,

Oisive au port est retenue ;

La tortue et les limaçons

Jeûnent perclus sous les glaçons ;

L’oiseau sur une branche nue

Attend pour dire ses chansons

Que la feuille soit revenue.

Le héron, quand il veut pêcher,

Trouvant l’eau toute de rocher,

Se paît du vent et de sa plume ;

Il se cache dans les roseaux

Et contemple, au bord des ruisseaux,

La bise contre sa coutume

Souffler la neige sur les eaux

Où bouillait autrefois l’écume.

Les poissons dorment assurés,

D’un mur de glace remparés,

Francs de tous les dangers du monde,

Fors que de toi tant seulement,

Qui restreins leur moite élément

Jusqu’à la goutte plus profonde,

Et les laisses sans mouvement,

Enchassés en l’argent de l’onde.

- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/contre-lhiver#sthash.wmYcdXMU.dpuf

 

 

 

 

 

 

Plein de colère et de raison,

Contre toi, barbare saison,

Je prépare une rude guerre,

Malgré les lois de l’univers,

Qui de la glace des hivers

Chassent les flammes du tonnerre,

Aujourd’hui l’ire de mes vers

Des foudres contre toi desserre.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tous nos arbres sont dépouillés,

Nos promenoirs sont tout mouillés,

L’émail de notre beau parterre

A perdu ses vives couleurs,

La gelée a tué les fleurs,

L’air est malade d’un caterre,

Et l’œil du ciel noyé de pleurs

Ne sait plus regarder la terre.

La nacelle, attendant le flux

Des ondes qui ne courent plus,

Oisive au port est retenue ;

La tortue et les limaçons

Jeûnent perclus sous les glaçons ;

L’oiseau sur une branche nue

Attend pour dire ses chansons

Que la feuille soit revenue.

Le héron, quand il veut pêcher,

Trouvant l’eau toute de rocher,

Se paît du vent et de sa plume ;

Il se cache dans les roseaux

Et contemple, au bord des ruisseaux,

La bise contre sa coutume

Souffler la neige sur les eaux

Où bouillait autrefois l’écume.

Les poissons dorment assurés,

D’un mur de glace remparés,

Francs de tous les dangers du monde,

Fors que de toi tant seulement,

Qui restreins leur moite élément

Jusqu’à la goutte plus profonde,

Et les laisses sans mouvement,

Enchassés en l’argent de l’onde.

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En hiver la terre pleure

 

 

En hiver la terre pleure ;
Le soleil froid, pâle et doux,
Vient tard, et part de bonne heure,
Ennuyé du rendez-vous.

Leurs idylles sont moroses.
- Soleil ! aimons ! - Essayons.
O terre, où donc sont tes roses ?
- Astre, où donc sont tes rayons ?

Il prend un prétexte, grêle,
Vent, nuage noir ou blanc,
Et dit : - C'est la nuit, ma belle !
- Et la fait en s'en allant ;

Comme un amant qui retire
Chaque jour son coeur du noeud,
Et, ne sachant plus que dire,
S'en va le plus tôt qu'il peut.

 

                                                      Victor Hugo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 

Bonjour monsieur l'Hiver

 

 

- Hé ! bonjour monsieur l'Hiver !
Ça faisait longtemps...
Bienvenue sur notre terre,
Magicien tout blanc.
- Les montagnes t'espéraient ;
Les sapins pleuraient ;
Les marmottes s'indignaient ;
Reviendra-t-il jamais ?
- Mes patins s'ennuyaient ;
Mes petits skis aussi ;
On était tous inquiets ;
Reviendra-t-il jamais ?
- Hé ! bonjour monsieur l'Hiver !
Ça faisait longtemps ...
Bienvenue sur notre terre,
Magicien tout blanc.

 

                                                           Patrick Bousquet

 

 
 

 

 

 

 

 

 

 
 

 

 

 

La neige tombe

 

 

Toute blanche dans la nuit brune
La neige tombe en voletant,
Ô pâquerettes! une à une
Toutes blanches dans la nuit brune !
Qui donc là-haut plume la lune ?
Ô frais duvet ! flocons flottants !
Toute blanche dans la nuit brune
La neige tombe en voletant.

La neige tombe, monotone,
Monotonement, par les cieux ;
Dans le silence qui chantonne,
La neige tombe monotone,
Elle file, tisse, ourle et festonne
Un suaire silencieux.
La neige tombe, monotone,
Monotonement par les cieux.

 

                                                                        Jean Richepin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un petit flocon de neige

 

 

Un petit flocon de neige
Est arrivé en Norvège

Et tout doucement il tombe

Comme un duvet de colombe
Et tout doucement il tombe
Comme un duvet de colombe

Il est tombé de la lune
Il ressemble à une plume
C'est tout petit flocon
Plus léger qu'un papillon
C'est tout petit flocon
Plus léger qu'un papillon

Un petit flocon de neige
Est devenu en Norvège
Une étoile de cristal
Sur la queue de mon cheval

Une étoile de cristal
Sur la queue de mon cheval

Un petit flocon de neige
Un petit flocon de neige....

 

                                                     Pierre Chêne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le petit flocon

 

 

Je suis un petit flocon
Tout menu, tout blanc, tout rond,
Je voltige dans l'air léger,
Je me balance
Au bout des branches,
Et puis je viens me percher
Au bout de ton petit nez

Je suis un peu froid.
Tu crois ?
C'est tant pis pour toi,
Voilà !

Je suis un petit flocon
Tout menu, tout blanc, tout rond,
Qui aime beaucoup s'amuser
Dans le vent... et sur ton nez !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais aujourd'hui dans ma contrée,

Petit flocon a décidé

De ne point  montrer,

Le bout de son nez.......

Le soleil lui rit au nez ,

Le vent se croit en été,

Décembre est bien d'actualité ,

Le temps est deboussolé....!

Et Les fêtes vont arriver,

Je continue d'espérer,

Pour de belles fêtes enneigées.

Petit flocon est arrivé..

Alors Un Joyeux Noel..... 

                               Lynablue