Titre du blog : BULLE DE VIE
Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
posté le 13-03-2014 à 09:11:21
Peintre Lena Sotskova
Lena . Sotskova
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Lena Sotskova est né à Moscou en 1963 .
Le
seul enfant de ses parents et un descendant de générations de
l'aristocratie russe , Sotskova bénéficié de l'immersion de l'art et de
la culture à travers les artistes , musiciens et acteurs qui visitent
fréquemment la maison de ses parents. Avec la musique classique , les peintures de maîtres
anciens et des sculptures qui l'entourent , les instincts artistiques et
créatives de Sotskova gagné vie .
Beaucoup voyagé avec ses parents , et plus tard par elle-même, Sotskova visité Florence , Paris , Londres , plusieurs capitales asiatiques , et de nombreuses régions de sa Russie natale . Cette exposition à des cultures diverses , riches et vastes de siècles d'art et de la musique mondiale a continué de façonner ses qualités artistiques intrinsèques.
Elle a commencé à peindre à l' âge de quatre ans qui a incité ses parents à chercher l'éducation formelle pour elle à l'école d'art et à travers des leçons privées d'artistes extrêmement talentueux et hautement acclamés . À étudier la musique et de l'art en même temps jusqu'à l'âge de dix-sept ans , Sotskova gravitait à la toile . Ses interprétations ont célébré son amour pour les beaux-arts à travers l'exploration continue de musiciens et de danseurs comme des sujets .
À un jeune âge Lena déjà rendu compte que son don de talent seul ne suffit pas pour devenir un maître , et donc elle a pris son éducation très au sérieux : Sotskova gagné entrée à l'université d'art la plus compétitive en Russie . Nommé d'après le comte Stroganoff , cette université d'élite seulement accepté un étudiant à tous les trois cents candidats . Au cours de ses six années à l'université , elle a étudié ( parmi beaucoup d'autres disciplines ) l' histoire des styles art du monde, les techniques de l'art de maîtres de la Renaissance , et les méthodes de l'icône peintures que l'on trouve dans les églises russes . Sotskova même étudié l'anatomie et observé cadavres réels dans une morgue à se familiariser avec la forme humaine et d'améliorer sa peinture du corps humain . Elle était parmi un groupe choisi de personnes autorisées à accéder aux archives du Fonds d'art de la Russie , fermé au grand public ; Sotskova gagné entrée des caves de prestigieuses institutions telles que l'Ermitage, le Louvre , et des palais royaux et des cathédrales de Moscou et de Saint- . Pétersbourg . Elle a participé à la restauration de pièces rares d'art qui ont été endommagés lors de l'incendie de Moscou de 1812 , dans la guerre avec l'empereur Napoléon Bonaparte .
Après ses nombreuses années d'éducation formelle dans l'art et une richesse d'expériences culturelles , elle a déménagé à New York, où le dynamisme et l'excitation de la place couraient vie nouvelle , d'impulsion , et l'enthousiasme dans les veines de son art . En Amérique , avec son effervescence et l'omniprésence de la couleur imprègne tous les aspects de la vie , la formation de l'art classique de Sotskova fusionné avec des éléments et des inspirations de ce nouvel environnement pour soutenir une évolution artistique qui a embrassé le morphing de la matière et de la tonalité
Musique.
Puisqu'il n'est point de mots qui puissent contenir,
Ce soir, mon âme triste en vouloir de se taire,
Qu'un archet pur s'élève et chante, solitaire,
Pour mon rêve jaloux de ne se définir.
Ô coupe de cristal pleine de souvenir ;
Musique, c'est ton eau seule qui désaltère ;
Et l'âme va d'instinct se fondre en ton mystère,
Comme la lèvre vient à la lèvre s'unir.
Sanglot d'or !... Oh ! voici le divin sortilège !
Un vent d'aile a couru sur la chair qui s'allège ;
Des mains d'anges sur nous promènent leur douceur.
Harmonie, et c'est toi, la Vierge secourable,
Qui, comme un pauvre enfant, berces contre ton cœur
Notre cœur infini, notre cœur misérable.
Albert Samain
Ce soir, mon âme triste en vouloir de se taire,
Qu'un archet pur s'élève et chante, solitaire,
Pour mon rêve jaloux de ne se définir.
Ô coupe de cristal pleine de souvenir ;
Musique, c'est ton eau seule qui désaltère ;
Et l'âme va d'instinct se fondre en ton mystère,
Comme la lèvre vient à la lèvre s'unir.
Sanglot d'or !... Oh ! voici le divin sortilège !
Un vent d'aile a couru sur la chair qui s'allège ;
Des mains d'anges sur nous promènent leur douceur.
Harmonie, et c'est toi, la Vierge secourable,
Qui, comme un pauvre enfant, berces contre ton cœur
Notre cœur infini, notre cœur misérable.
Albert Samain
Commentaires
Bonjour
Je te souhaite un bon week end.
Bisous