posté le 17-03-2014 à 13:22:48
Reflet
REFLET
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Un reflet est, en physique, l'image virtuelle formée par la réflexion
spéculaire d'un objet sur une surface.
La nature spéculaire de la
réflexion est liée aux caractéristiques du corps réfléchissant.
Les
formes les plus connues s'obtiennent par réflexion sur une surface
métallique (MIROIR), le verre ou l'eau.
L'image virtuelle est inversée et se trouve de manière symétrique à l'objet par rapport au plan de réflexion
Réflexion affaiblie de la lumière, de la couleur, de l'image d'un corps sur un autre.
Le
reflet d'une étoffe sur une autre.
Cette étoffe a de beaux reflets.
Ce
meuble reçoit des rideaux de la fenêtre un reflet qui le colore.
Le
reflet des peupliers dans l'eau.
Les reflets de l'eau contenue dans ce
vase éclairent le plafond.
Cet éclairage produit sur le papier des
reflets qui me gênent pour écrire.
Il s'emploie aussi figurément.
Sa réputation est un reflet, un pâle reflet de la gloire de son père.
Cet homme est le reflet de son entourage, Il subit l'influence des personnes qui l'entourent
LE NUAGE
Levez les yeux ! C’est moi qui passe sur vos têtes,
Diaphane et léger, libre dans le ciel pur ;
L’aile ouverte, attendant le souffle des tempêtes,
Je plonge et nage en plein azur.
Comme un mirage errant, je flotte et je voyage.
Coloré par l’aurore et le soir tour à tour,
Miroir aérien, je reflète au passage
Les sourires changeants du jour.
Le soleil me rencontre au bout de sa carrière
Couché sur l’horizon dont j’enflamme le bord ;
Dans mes flancs transparents le roi de la lumière
Lance en fuyant ses flèches d’or.
Quand la lune, écartant son cortège d’étoiles,
Jette un regard pensif sur le monde endormi,
Devant son front glacé je fais courir mes voiles,
Ou je les soulève à demi.
On croirait voir au loin une flotte qui sombre,
Quand, d’un bond furieux fendant l’air ébranlé,
L’ouragan sur ma proue inaccessible et sombre
S’assied comme un pilote ailé.
Dans les champs de l’éther je livre des batailles ;
La ruine et la mort ne sont pour moi qu’un jeu.
Je me charge de grêle, et porte en mes entrailles
La foudre et ses hydres de feu.
Sur le sol altéré je m’épanche en ondées.
La terre rit ; je tiens sa vie entre mes mains.
C’est moi qui gonfle, au sein des terres fécondées,
L’épi qui nourrit les humains.
Où j’ai passé, soudain tout verdit, tout pullule ;
Le sillon que j’enivre enfante avec ardeur.
Je suis onde et je cours, je suis sève et circule,
Caché dans la source ou la fleur.
Un fleuve me recueille, il m’emporte, et je coule
Comme une veine au cœur des continents profonds.
Sur les longs pays plats ma nappe se déroule,
Ou s’engouffre à travers les monts.
Rien ne m’arrête plus ; dans mon élan rapide
J’obéis au courant, par le désir poussé,
Et je vole à mon but comme un grand trait liquide
Qu’un bras invisible a lancé.
Océan, ô mon père ! Ouvre ton sein, j’arrive !
Tes flots tumultueux m’ont déjà répondu ;
Ils accourent ; mon onde a reculé, craintive,
Devant leur accueil éperdu.
En ton lit mugissant ton amour nous rassemble.
Autour des noirs écueils ou sur le sable fin
Nous allons, confondus, recommencer ensemble
Nos fureurs et nos jeux sans fin.
Mais le soleil, baissant vers toi son œil splendide,
M’a découvert bientôt dans tes gouffres amers.
Son rayon tout puissant baise mon front limpide :
J’ai repris le chemin des airs !
Ainsi, jamais d’arrêt. L’immortelle matière
Un seul instant encor n’a pu se reposer.
La Nature ne fait, patiente ouvrière,
Que dissoudre et recomposer.
Tout se métamorphose entre ses mains actives ;
Partout le mouvement incessant et divers,
Dans le cercle éternel des formes fugitives,
Agitant l’immense univers.
Louise Ackermann
LES SOLITAIRES
Le miroir de l'âme
Les yeux sont le reflet de l'âme
Des âmes claires, pures, grandes ouvertes
Yeux brûlants vifs comme une flamme
Yeux profonds comme une mer toute claire...
Yeux coquins, sournois, maquillés,
Perçants, froncés, crispés, serrés,
Agacés, Tristes, hagards, mouillés,
Veloutés, Sincères, Rassurés,
Yeux qu'on croise un jour par hasard
Déclenchant un feu d'étincelles
Alors que mille autres regards
Se noient dans le monde matériel !
Pourquoi parler, vouloir paraître ?
Quand un seul regard nous suffit
Pour voir l'art d'un tableau de Maître,
La perfection d'une goutte de pluie ?
Les yeux sont le guide de la vie,
Ils nous préviennent, extériorisent :
La joie, les pleurs, la sympathie,
La douleur, le bonheur limpide...
Il est dans les étoiles, des mondes,
Cachés et ignorés des hommes,
Où anges et yeux purs se confondent,
Dans la grande lumière d'un royaume..
" Les vêtements sont un message, un reflet de la personnalité, de la situation sociale, de l'éducation et l'image que chacun de nous veut renvoyer au reste du monde."
Douglas Kennedy
" J'ai au coeur comme le reflet d'un beau rêve dont je ne me souviens plus."
Jules Renard
" Les cœurs sont le miroir obscur des firmaments , Toutes nos passions reflètent les étoiles. "
Victor Hugo
" Le comportement , la façon d'être , d'une personne , sans la voir, est aussi le reflet de sa personnalité "
Inconnu
Commentaires
Bonjour Lyna,
j'aime beaucoup ton article tout y est superbe des images au texte et poésie je viens de passer un agréable moment chez toi ! merci
J'espère que tu vas bien je te souhaite une agréable fin de journée.
Gros bisous tendresse
Nanou
bonjour lynablue
un petit coucou chez toi pour te souhaitée un bon dimanche.
bises fafa_012