Titre du blog : BULLE DE VIE
Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
Auteur : lynablue
Date de création : 06-10-2012
posté le 10-12-2014 à 11:19:19
Le Temps des Lutins...
L U T I N S
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Petit Lutin de poésie
Un pt’it lutin de poésie
Désarticulé et sans vie
Gisait sur le bord du chemin
Juste les restes d’un pantin.
Ses fines ailes arrachées
Rageusement éparpillées
Par un violent vent de folie
Qui mit son corps à l’agonie.
Parce qu’à l’aube d’un beau jour
La haine a remplacé l’amour…
On ne le verra plus voler
Au cœur des bois ou dans les près,
Désarticulé et sans vie
Gisait sur le bord du chemin
Juste les restes d’un pantin.
Ses fines ailes arrachées
Rageusement éparpillées
Par un violent vent de folie
Qui mit son corps à l’agonie.
Parce qu’à l’aube d’un beau jour
La haine a remplacé l’amour…
On ne le verra plus voler
Au cœur des bois ou dans les près,
Chantant les fleurs et les oiseaux,
Les fées et les élémentaux,
Lové dans la lune croissant,
Volant les étoiles en passant
Ou dansant sur un arc en ciel
Entre la pluie et le soleil.
De ce monde désenchanté
Il était lumière dorée,
Alors le ciel en sa clémence
Lui redonna une autre chance.
Un ange qui passait par là
Tendrement le pris dans ses bras
Et le posa contre son cœur
Lui insufflant de sa chaleur.
Petit lutin tout réparé
Sourit au bonheur retrouvé,
Dans la magie de son aura
Scintillait sa Bella Pluma.
Alphonse Blaise
Fée et le lutin
Il était une fois
Au pays de la pluie
La fée Mélancolie.
Elle cherchait son soleil,
Courait toujours après
Sans pouvoir l’attraper.
C’était un cœur ,qui se mourrait d’ennui.
Il était une fois
Au pays du soleil
Un lutin plaisantin,
qui lui tendait la main,
Arborant les chemins,
C’était une âme perdue ,errant vers l’inconnu .
La fée et le lutin
Se rencontrèrent ,dans une jolie clairière,
Peu à peu s’apprécièrent ,
Et s’aimèrent.
Le bonheur ils goûtèrent ,
Ne s’en rassasiant point.
Puis la fée est tombée ,
du haut de l’escalier,
Sacré coup du destin !
Peu à peu s’éloignèrent ,
Elle, impuissante,
Dans un lit de misère,
Lui, impuissant ,
Attendant la lumière.
La bougie s’éteignit ,
Plus de vie , plus d’envies.
Peu à peu s’ignorèrent,
Oubliant leurs chimères,
Regardant en avant ,
en arrière,
Ne connaissant leurs sentiments
qu’ils se cachèrent.
Le lutin, plaisantin
Se lassa de sa fée,
Pourquoi l’aimer ?
Ce n’est qu’une éphémère,
Qui oublie de m’aimer.
Il repartit dans le lointain,
Rencontrer la fée de demain.
Au pays de la pluie
La fée Mélancolie.
Elle cherchait son soleil,
Courait toujours après
Sans pouvoir l’attraper.
C’était un cœur ,qui se mourrait d’ennui.
Il était une fois
Au pays du soleil
Un lutin plaisantin,
qui lui tendait la main,
Arborant les chemins,
C’était une âme perdue ,errant vers l’inconnu .
La fée et le lutin
Se rencontrèrent ,dans une jolie clairière,
Peu à peu s’apprécièrent ,
Et s’aimèrent.
Le bonheur ils goûtèrent ,
Ne s’en rassasiant point.
Puis la fée est tombée ,
du haut de l’escalier,
Sacré coup du destin !
Peu à peu s’éloignèrent ,
Elle, impuissante,
Dans un lit de misère,
Lui, impuissant ,
Attendant la lumière.
La bougie s’éteignit ,
Plus de vie , plus d’envies.
Peu à peu s’ignorèrent,
Oubliant leurs chimères,
Regardant en avant ,
en arrière,
Ne connaissant leurs sentiments
qu’ils se cachèrent.
Le lutin, plaisantin
Se lassa de sa fée,
Pourquoi l’aimer ?
Ce n’est qu’une éphémère,
Qui oublie de m’aimer.
Il repartit dans le lointain,
Rencontrer la fée de demain.
Les petits lutins
Ils ont laissé ici leurs dessins, leurs écrits,
De jolis mots d'amour, leurs chansons et leurs cris,
Des courses effrénées d'une pièce à une autre,
Des plis, sur le grand lit où joyeux, on se vautre !
De jolis mots d'amour, leurs chansons et leurs cris,
Des courses effrénées d'une pièce à une autre,
Des plis, sur le grand lit où joyeux, on se vautre !
Une lampe est tombée dans leurs jeux endiablés,
Et les petits lutins sont venus s'excuser,
Mais on n'a pas grondé, et les jolis sourires
Sont vite revenus, et la joie, en délire !
Et les petits lutins sont venus s'excuser,
Mais on n'a pas grondé, et les jolis sourires
Sont vite revenus, et la joie, en délire !
Leurs petits corps si doux ont comblé nos genoux
Et leurs tendres baisers ont caressé nos joues.
Oh ! ces moments divins où l'enfant vous confie
Les secrets, les émois de sa petite vie...
L'An neuf est arrivé et l'on s'est embrassés,
Et, bien après minuit, les petits ont veillé.
Ces moments partagés sont du miel pour nos coeurs,
On a su savourer ces instants de bonheur.
Et leurs tendres baisers ont caressé nos joues.
Oh ! ces moments divins où l'enfant vous confie
Les secrets, les émois de sa petite vie...
L'An neuf est arrivé et l'on s'est embrassés,
Et, bien après minuit, les petits ont veillé.
Ces moments partagés sont du miel pour nos coeurs,
On a su savourer ces instants de bonheur.
Et puis ils sont partis, nous laissant fatigués
Mais heureux, si heureux, en ce début d'année !
Jolis petits lutins, que l'année vous soit tendre,
Nos coeurs, jamais lassés, sont là, à vous attendre...
Mais heureux, si heureux, en ce début d'année !
Jolis petits lutins, que l'année vous soit tendre,
Nos coeurs, jamais lassés, sont là, à vous attendre...
Michèle CORTI
Petits lutins
Petits lutins, dépêchez-vous
Père Noël a besoin de vous. Le premier achète tous les jouets
Le second les emballe à sa façon
Le troisième leur met une jolie ficelle
Le suivant écrit le nom des enfants
Le dernier doit tous les distribuer.Petits lutins
Merci beaucoup
Pour l'an prochain,
Reposez-vous.
CHANSON POUR LES ENFANTS L’HIVER
Dans la nuit de l’hiver
Galope un grand homme blanc.
C’est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois,
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village.
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré.
Dans une petite maison
Il entre sans frapper,
Et pour se réchauffer,
S’assoit sur le poêle rouge,
Et d’un coup disparaît
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d’une flaque d’eau,
Ne laissant que sa pipe
Et puis son vieux chapeau.
Jacques Prévert
Le petit lutin
Dans le froid de l'hiver,
Dort un petit lutin
Couché sous la fougère
Une baguette à la main.
Dort un petit lutin
Couché sous la fougère
Une baguette à la main.
Il rêve aux primevères
Qui au printemps prochain
Tapisseront de vert
Les sous-bois de sapins.
Qui au printemps prochain
Tapisseront de vert
Les sous-bois de sapins.
Il a un bonnet vert
Un sourire très câlin
Et là, sous la faitière
L'observe un petit lapin.
Un sourire très câlin
Et là, sous la faitière
L'observe un petit lapin.
Il rêve de chimères
De vrais bonheurs sans fin
Et de roses trémières
Au fond d'un grand jardin.
De vrais bonheurs sans fin
Et de roses trémières
Au fond d'un grand jardin.
Les flocons tournent en l'air
Se posent sur sa main
La neige l'a recouvert
Jusqu'au petit matin.
Se posent sur sa main
La neige l'a recouvert
Jusqu'au petit matin.
Je me souviens, ma mère
Quand j'étais un gamin
Me contait la misère...
Dors bien petit lutin.
Quand j'étais un gamin
Me contait la misère...
Dors bien petit lutin.
Patrick GUEDJ
Petits Lutins de Noel
Petits lutins avez-vous veillé
à ce qu'il n'ait rien oublié ?
Avez-vous pensé aux bonbons, aux sapins ?
Avez-vous mis de la neige sur son chemin ?
Dans sa poche trouvera-t-il le cahier ?
Le grand cahier avec la liste des enfants sages
Et puis, dans un petit, tout petit étui, ses lunettes
Pour lire leur nom la nuit
Alors maintenant ouvrez la porte du garage !
Père Noël partez bien vite
et bon voyage !
à ce qu'il n'ait rien oublié ?
Avez-vous pensé aux bonbons, aux sapins ?
Avez-vous mis de la neige sur son chemin ?
Dans sa poche trouvera-t-il le cahier ?
Le grand cahier avec la liste des enfants sages
Et puis, dans un petit, tout petit étui, ses lunettes
Pour lire leur nom la nuit
Alors maintenant ouvrez la porte du garage !
Père Noël partez bien vite
et bon voyage !
Emilie Vanvolsem
LE
LUTIN
Je suis un lutin,
Intelligent, et malin,
J'ai un siècle ou deux,
Les lutins vivent vieux.
Je suis tellement petit,
Que je passe c'est inouï,
Dans un trou de souris
Intelligent, et malin,
J'ai un siècle ou deux,
Les lutins vivent vieux.
Je suis tellement petit,
Que je passe c'est inouï,
Dans un trou de souris
Je ne dors pas la nuit,
J'aide tous mes amis,
Je veille sur les enfants,
Et sur leurs parents.
J'envoient par milliers,
Des rêves enchantés
Je fais un beau métier.
J'aide tous mes amis,
Je veille sur les enfants,
Et sur leurs parents.
J'envoient par milliers,
Des rêves enchantés
Je fais un beau métier.
LE LUTIN
Chaque soir au couchant, sur le bord d'un chemin
S'éveille en baillant, un tout petit lutin.
Le coeur bien disposé et l'âme ensoleillée,
Il prépare son labeur en traversant les prés.
Remplissant son panier de gouttes de rosée
Pour aider les abeilles à se désaltérer,
Il leur dit leur ouvrage pour la proche journée
Et leur donne courage pour le faciliter.
Il allume en passant sur le calme ruisseau
Les reflets que la nuit porte sur son manteau,
Puis s'arrête plus loin accrocher aux roseaux
Les Demoiselles bleues pour aider leur repos.
Mais il n'oubliera pas de parer tour à tour
Les pétales des fleurs, Soucis ou Pompadour,
Leur accrochant au coeur les graines de l'amour
Pour que se multiplie chaque couleur du jour.
Avant se d'en aller il décore encore
Les prés et les genets de leurs clochettes d'or,
Il pose sur la mousse, au pied des chataîgniers
Les fruits de l'amitié que tu viendras chercher.
Et si le jour se lève pour toi chaque matin,
Dis toi que tu le dois à ce petit lutin,
Besogneux et ardent, il oeuvre à ton destin
Et fait que le soleil brille encore pour demain.
S'éveille en baillant, un tout petit lutin.
Le coeur bien disposé et l'âme ensoleillée,
Il prépare son labeur en traversant les prés.
Remplissant son panier de gouttes de rosée
Pour aider les abeilles à se désaltérer,
Il leur dit leur ouvrage pour la proche journée
Et leur donne courage pour le faciliter.
Il allume en passant sur le calme ruisseau
Les reflets que la nuit porte sur son manteau,
Puis s'arrête plus loin accrocher aux roseaux
Les Demoiselles bleues pour aider leur repos.
Mais il n'oubliera pas de parer tour à tour
Les pétales des fleurs, Soucis ou Pompadour,
Leur accrochant au coeur les graines de l'amour
Pour que se multiplie chaque couleur du jour.
Avant se d'en aller il décore encore
Les prés et les genets de leurs clochettes d'or,
Il pose sur la mousse, au pied des chataîgniers
Les fruits de l'amitié que tu viendras chercher.
Et si le jour se lève pour toi chaque matin,
Dis toi que tu le dois à ce petit lutin,
Besogneux et ardent, il oeuvre à ton destin
Et fait que le soleil brille encore pour demain.
Commentaires
Une très heureuse Année 2015 !
Bonsoir Lyna,
comme c'est jolie chez toi je me crois dans un vrais conte de fée avec tous ces lutins.
Excuse moi pour mes longues absences je ne t'oublie pas mais entre moi qui ai été très fatigué et ma maman qui a des soucis de santé et qui sera opéré début janvier et les allées retour entre chez moi et chez mon ami j'ai parfois l’impression que j'en perd mon latin ! lol
J'espère que tu vas bien nos échanges me manques j'espère que le mois de février me laissera plus de temps.
Je te souhaite un joyeux Noël avec un peu d'avance .
Gros bisous affectueux à bientôt
Nanou
Ho que c'est joli tous ça!!!!
C'est un univers que j'aime beaucoup!!!
Je suis restée une enfant, et je suis bien ainsi lol!!!
Merci!!!
Bizettes
co