« La mer touche au plus profondde l'homme. Dans lalumière du soleil, n’est-elle pas le miroir de l’âmehumaine ? »
_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_
Les Mers et Océans , ces immensités qui recouvrent 70 % de la Planète et qui se retrouve en 2013
dans un état déplorable ......il faut bien l'avouer..
Pollution à outrance, tous les déchets quels qu'ils soient chimiques, organiques, etc... qui sont rejetés et se déversent dans toutes les mers et océans du globe,
Les forrages intensifs qui abiment les fonds marins et les tuent petit à petit,
la Pêche industrielle et intensive pratiquée encore par ces Pays qui ne respectent rien et qui contribuent activement à la disparition des espèces .... qui ratissent littéralement les Mers et qui dans très peu d'années videront les Océans, les multinationales qui ne respectent rien....
Les sacsplastiquesqui empoisonnent et tuent la Faune etlaFlore marines,
Les barrières de corailsemeurent doucement ainsi que la faune et laflore aquatique
Lesmerset Océansdeviennentune poubellecommune Mondiale
il y a une multitude de personnes habitant près de la Mer ,
Une multitude de villes côtières ,
et lors de vacances ou autres des milliers de personnes aiment à se retrouver au bords de la mer profiter de son attrait, de ses bienfaits .........
Serait -il agréable de vivre et se baigner parmis les déchets et autres polluants ?................
Même dans les quelques iles les plus sauvages et reculées àdes milliers de kilomètre de la terre ferme ces ilesaucunement fréquentées par l'Homme , les déchets arrivent jusqu'à elles ....
Il est vraiment grand temps de ne plus faire n'importe quoi,
d'autant que les mers et océans contribuent à la vie de l'homme et les nourrient aussi !
La Nature , les Mers et Océans, les Animaux sont la puissance de la vie... peut être ...éternelle .........
Si l'Homme en détruit l'Existence , alors rien ne garanti un futur !..................
«Hommelibre,toujourstucheriraslamer!»
« La Poésie estmémoirebaignéedelarmes.
Lamusique est mémoiredelaMer »
L'homme et la mer
Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Charles Baudelaire
«L'éternitéC'estlaMermêléeAusoleil.»
Une femme se jette dans une rivière
Cette rivière se jette dans un fleuve
Un homme se jette dans ce fleuve
Et ce fleuve se jette dans la mer
Et la mer rejette sur la terre
Une pipe d’écume
Et la dentelle blanche de ses vagues étalées
Qui brille sous la lune
c’est la robe de la marée
Simples cadeaux de noces de la grande marée.
Jacques Prévert
Lamerestplusbelle
La mer est plus belle Que les cathédrales, Nourrice fidèle, Berceuse de râles, La mer sur qui prie La Vierge Marie !
Elle a tous les dons Terribles et doux. J'entends ses pardons Gronder ses courroux. Cette immensité N'a rien d'entêté.
Oh ! si patiente, Même quand méchante ! Un souffle ami hante La vague, et nous chante : " Vous sans espérance, Mourez sans souffrance ! "
Et puis sous les cieux Qui s'y rient plus clairs, Elle a des airs bleus, Roses, gris et verts... Plus belle que tous, Meilleure que nous !
Très bel article! PHotos et poèmes, tout un hymne à la mer, cette pauvre mer que les humains souillent au mépris de la Vie... Quand nous réveillerons nous pour sauver ce qui peut l'être encore?
Au creux des humides savanes, Ceint des herbes et des lianes Qui foisonnent dans les roseaux, Calme, à l’abri de la rafale, Le lac en plein soleil étale Le miroir de ses claires eaux. Baignant dans les détours pleins d’ombre Leur manteau de velours vert sombre, Des bois au faîte ensoleillé, Dans ces profondeurs qui nous trompent, Si frais et si moelleux s’estompent, Que l’oeil en est émerveillé. Vienne le crépuscule rouge, La mare noire, où rien ne bouge, Aux feux du ciel occidental Brasille ; et c’est une surprise De voir le frisson de la brise Courir sur ce flambant cristal. Deçà, delà, les demoiselles Du preste éclair bleu de leurs ailes Sillonnent le fouillis des joncs. La truite, entre deux eaux, frétille, Et, pour saisir l’aile qui brille, Fait mille sauts, mille plongeons. Assis au fond de la pirogue, Le pêcheur, silencieux, vogue En pagayant à petit bruit, Tandis que l’appât nacré glisse Et roule, miroitante hélice, Dans le sillage d’or qui fuit. Un cuivre au lointain sonne encore : C’est le chasseur. L’écho sonore Redit trois fois, cinq fois : Taïaut ! À travers la bruine qui voile Monts et bois, la première étoile Scintille au ciel comme un joyau. On n’entend qu’un doux bruit de feuille. La solitude se recueille. Bercé par un luth idéal, Sans cesse et sans cesse, en cadence, Autour du pôle étoilé danse Le météore boréal. À peine un cri d’oiseau s’élève Et flotte, vague comme un rêve, Sur le clavier des flots déserts. Déployant son vol circulaire, La vaporeuse aube polaire Glisse en silence par les airs. Bientôt tout bruissement tombe. Près des grands feux clairs de la combe Veillent chasseurs et forestiers. Seuls les élans roux, qui ruminent, Avec leurs compagnes cheminent Dans le clair-obscur des sentiers. Derrière une blanche nuée Au moindre souffle remuée, Cachant son pâle front changeant, La lune dort : la chasseresse Sur l’eau qu’un vent léger caresse A laissé choir son arc d’argent. Nérée Beauchemin
Charme du Soir .....................
LeSoir
Le soir ramène le silence. Assis sur ces rochers déserts, Je suis, dans le vague des airs, Le char de la nuit qui s’avance. Vénus se lève à l’horizon ; À mes pieds l’étoile amoureuse De sa lueur mystérieuse Blanchit les tapis de gazon. De ce hêtre au feuillage sombre J’entends frissonner les rameaux : On dirait autour des tombeaux Qu’on entend voltiger une ombre. Tout-à-coup, détaché des cieux, Un rayon de l’astre nocturne, Glissant sur mon front taciturne, Vient mollement toucher mes yeux. Doux reflet d’un globe de flamme, Charmant rayon, que me veux-tu ? Viens-tu dans mon sein abattu Porter la lumière à mon âme ? Descends-tu pour me révéler Des mondes le divin mystère, Ces secrets cachés dans la sphère Où le jour va te rappeler ? Une secrète intelligence T’adresse-t-elle aux malheureux ? Viens-tu, la nuit, briller sur eux Comme un rayon de l’espérance ? Viens-tu dévoiler l’avenir Au cœur fatigué qui t’implore ? Rayon divin, es-tu l’aurore Du jour qui ne doit pas finir ? Mon cœur à ta clarté s’enflamme, Je sens des transports inconnus, e songe à ceux qui ne sont plus : Douce lumière, es-tu leur âme ? Peut-être ces mânes heureux Glissent ainsi sur le bocage : Enveloppé de leur image, Je crois me sentir plus près d’eux ! Ah ! si c’est vous, ombres chéries ! Loin de la foule et loin du bruit, Revenez ainsi chaque nuit Vous mêler à mes rêveries. Ramenez la paix et l’amour Au sein de mon âme épuisée, Comme la nocturne rosée Qui tombe après les feux du jour. Venez !… mais des vapeurs funèbres Montent des bords de l’horizon : Elles voilent le doux rayon, Et tout rentre dans les ténèbres.
il egaye nos coeurs et nous donne cette gaieté et bonne humeur
que l'hiver avait un peu assoupi...
Voici le Printemps , avec ses chants d'oiseaux matinaux,
le soleil qui devient plus présent et l'air plus doux et chaud......Les jours plus clairs et plus longs
Qu'il est bon de voir la nature se parer de toutes ces couleurs douces et vives à la fois , une à une les tulipes , paquerettes, violettes , crocus, pensées, ................... éclosent et habillent les jardins , les arbes et arbustes éclatent de beauté et de vie ...........
Qu'il est doux de sentir cette légèreté qui donne à notre esprit et notre coeur ce bien être ......et ces sourires
Printemps
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Victor Hugo
À la rencontredu printemps
Cheveux au vent Tambour battant, Allons-nous-en, A la rencontre du printemps. Des arbres, des toits, des auvents, Il pleut des milliers d'hirondelles. Le soleil verse sur les champs, De pleins paniers de fleurs nouvelles. Cheveux au vent, Tambour battant, Allons-nous-en, A la rencontre du printemps. Prenons nos trompettes gaiement Et sonnons la mort de l'hiver. La terre est comme un agneau blanc Dans les bras nus de l'univers. Cheveux au vent, Tambour battant, Allons-nous-en, A la rencontre du printemps.
Déjà les beaux jours, - la poussière, Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soirs ; - Et rien de vert : - à peine encore Un reflet rougeâtre décore Les grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. - Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau.
Bonsoir ma douce Lyna,
très bel article sur le printemps. Cela fait près d'un mois qu'il est arrivé. A présent, il se fait vraiment ressentir.
Quel plaisir.
Je te souhaite une douce nuit et une bonne fin de semaine.
Je t'embrasse
Entouré par la richesse et la divinité de l'art byzantin et les reliques de folklore médiéval bulgare, elle a commencé à dessiner à l'âge de cinq ans.
A six ans, elle a remporté son premier artiste compétition au Festival national d'art prestigieux pour jeunes artistes. Roza a obtenu sa maîtrise en beaux-arts de l'Académie nationale des arts à Sofia en 1987.
De là, ses tableaux ont été une partie de chaque exposition nationale, et en reconnaissance de son style distinctif, en 1989, elle est devenue membre de l'Association de l'artiste bulgare.
Commentaires
1. Zeb le 22-04-2013 à 08:04:57 (site)
Très bel article! PHotos et poèmes, tout un hymne à la mer, cette pauvre mer que les humains souillent au mépris de la Vie... Quand nous réveillerons nous pour sauver ce qui peut l'être encore?