posté le mercredi 15 octobre 2014

Dessins de Kirk

 
 
 
 
 

 

 

 

PEINTURE  D KIRK  REINERT
 
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 Superbe peintures de cet Artiste !
 
 
 

 
 
 
 

 

 

KIRK REINERT est un artiste  Américain, qui réside dans l'État de New York.

Kirk découvre qu’il avait un talent naturel à un âge très précoce ayant été introduit à l'art par son grand-père, un dessinateur de sport pour le Cleveland Plain Dealer, et son oncle, un animateur.

Kirk est diplômé de l'Ecole d'Art Cooper avec un degré dans l'art et le design.

Après sa graduation, il a travaillé dans la publicité comme illustrateur et designer et après que 3 1/2 ans se soient écoulés   il a établi son propre studio en 1981.

 

Kirk est devenu l'un des illustrateurs de premier plan dans les genres du fantastique , l'horreur et la science-fiction. Au cours de sa carrière d'artiste de couvertures de livre, il a peint plus de 200 couvertures, y compris des projets tels que  « Conan le Barbare série et Clive Barker romans. Il a remporté de nombreux prix, dont " Artiste Couverture de l'année "pour son" Creepy "et" Eerie magazine "couvre à Warren édition et il a été honoré 4 fois avec la" Couverture du livre Meilleur national de l'année »pour des travaux réalisés avec Harper / Collins éditeurs. Également à cette époque, ses peintures de couvertures de livres ont été exposées à la Society of Illustrators de New York.

 

Au cours des 18 dernières années, Kirk s'est principalement concentrée sur la peinture pièces d'art qui ont montré dans des galeries à travers les USA  et au Japon.

En 1988, il a pris le temps d'apprendre le processus d'impression lithographique à la prestigieuse Ettinger Atelier à New York et à portée de main dessiné toutes les plaques lithographiques pour sa première édition imprimée limitée d'origine.

 

En 1990, Kirk a commencé une collaboration conceptuelle avec Lilli Farrell, qui, en plus d'être une créatrice, est une enseignante spirituelle et a été un guérisseuse naturelle depuis qu'elle était enfant.

Leur travail d'équipe s'est avéré être un catalyseur pour la création d'une toute nouvelle dimension dans les peintures de Kirk et en 1993, les peintures que Kirk et Lilli créent ensemble ont acquis une immense popularité au Japon. Depuis lors, ils ont fait au moins 2 visites d'expositions d'art chaque année au Japon.

 

Kirk pense que même depuis le début de sa carrière en tant qu'illustrateur, il est resté fidèle à sa vision esthétique propre. Son sens doué de la lumière, la couleur et la forme lui donne un talent particulier pour mettre la vie dans tout ce qu'il peint et de créer une expérience véritablement crédible qui touche l'imagination du spectateur et apporte une sensation de magie à son travail.

Bien que Kirk aime travailler avec des huiles et des aquarelles, la plupart de ses tableaux sont peints avec de la peinture acrylique sur carton.

 

 

 

 


 

 
 
 
 
 
 
    

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
   

 

 

 

 

 

 

 

 
 
" Toute lumière qui ouvre les yeux aux hommes à la vérité les blesse, et les révolte."
Citation de Jean-Baptiste Massillon  (1834)
 
 
 
 
" Dans les recherches de l'âme, la seule lumière qui éclaire pleinement le penseur vient d'en haut."
Citation de Augusta Amiel-Lapeyre  (1909)
 
 
 
 Toutes les lumières du monde réunies ne peuvent étouffer la lumière d'une petite bougie.
Citation de Citation persane ; Proverbes et dictons persans (1822)
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 



 
 Élévation

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,

Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde,
Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.

Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
Va te purifier dans l’air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.

Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;

Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !

 

 

                                                          Charles Baudelaire, Les fleurs du mal

 

 

 

 

  
 
 

 
 
 


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1. titeflamme  le 15-10-2014 à 10:29:57  (site)

Bonjour ma douce amie
J'aime beaucoup les oeuvres de cet artiste. Couleurs si délicates, une belle vibration !!
bisous du jour
co

2. titeflamme  le 19-10-2014 à 09:40:11  (site)

avec le soleil, je viens te souhaiter un agréable dimanche...
bises
co

3. bluedreamer  le 22-10-2014 à 12:29:56  (site)

belles citations.

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posté le mardi 14 octobre 2014

Peintre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
OKSANA . KRAVCHENKO
 
 
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Oksana Kravchenko est née en 1971 dans la ville de Novouralsk, région de Sverdlovsk, Russie. En 1990, elle est diplômée de l'Oural école d'Arts appliqués, sa profession est uncorateur de l'artiste.

Depuis 2005 Oksana a eu plusieurs expositions dans des galeries d'Ekaterinbourg, elle est un participant permanent de diverses expositions d'art. Depuis 2009, ses oeuvres ont été exposées à Moscou.

 


 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
« La tendresse
Est une effusion du cœur
Semblable à une gerbe de bonheur. »
 
 
 
 

 
 
 
Petites douceurs
 

Tes mots si tendres mon Ange
Laissent sur mon coeur
Un goût étrange
Un je ne sais quoi
Sucré salé
Une douceur de roses nacrées
J'ai laissé parler mon coeur
Enfoui dans ses douleurs
Ma peine s'est envolée
Grâce au parfum de ta peau
Laisse encore tes doigts entre les miens
Ton visage s'appelle demain...
 
                                                                                  Mod DARD
 


 

 


 



 


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posté le jeudi 02 octobre 2014

Et Voici Doucement L'Automne

 

 

 

 

 

 

Et  Doucement L'Automne  ............
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L'Automne......
 

 

Dans cet air incertains , brille encore le soleil,

Où les heures et les jours ne seront plus pareils,

Comme pour tirer une révérence élégante,

il nous gâte encore de ses éclats chaleureux ,

Mais bientôt , ce beau soleil , s'en ira heureux,

Pavaner vers d'autres contrées plus attrayantes.

La lumière du matin plus discrète et tardive,

La fraicheur deviendra plus incisive,

Les bulles de rosées joueront avec la nature,

Les feuilles perdront de leur armature,

Le vent glissera  dans les arbres avec désinvolture,

Voilà doucement l'automne qui pointe son nez.

Le soir tombera si  vite sur les maisonnées,

Hâte de rentrer..., la pluie cingle les toits ardoisés !

Les feuilles s'éparpillent , tourbillonnent sur le chemin,

Les passants pressés et emmitouflés , avec leur parapluie,

Les soirs d'automne rient du tumulte de la pluie.

Belle soirée lorsque au creux d'un bon fauteuil,

Crépite la cheminée, c'est l'été qui  fait son deuil.

De bons repas le soir venu, enchanteront petits et grands,

Voilà doucement l'automne qui se répand.

Les couleurs d'or , grenat et fauve soupoudreront la campagne,

Un arc en ciel de rubis fière de cette compagne,

Cette palette de couleurs unique à cette saison,

Berce la nature qui semble en déraison,

Les marrons et châtaignes se marient dans les chemins,

Les dalhias et chrysanthèmes éblouis les jardins,

Nous voilà redevenus comme des gamins.

Emerveillés par tant de beauté ,

L'automne joue son plus beau spectacle coloré,

Immortalisé  par de superbes portraits,

Précieusement et jalousement gardés,

Voilà l'automne , dans toute sa splendeur,

Qui enchantera les regards  et illuminera les coeurs.

 

 

                                                                               Lynablue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'automne ne sait rien

De sa saison
Il est le temps de neiger
Jeune et violet
Vert et or
Ocre et rouge
Le vent se charge du reste
 
 
Les oiseaux s'en vont
Tomber dans le ciel
Des fruits à l'envers
D'Où sont ces racines
Qui les accompagnent

 


Par discrétion
On ne regarde plus les arbres
Que de biais
En évitant de voir les branches

 

Timbales sur le lac
Au petit jour
La Camarde des plumes
Bat le tambour

 

Mille feux
Pour séduire la neige
 
 
                                                         Gilles Vigneault (Poête Canadien )

 

 

 
 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
Sous bois
 
 
 

A travers le bois fauve et radieux,
Récitant des vers sans qu'on les en prie,
Vont, couverts de pourpre et d'orfèvrerie,
Les Comédiens, rois et demidieux.


Hérode brandit son glaive odieux ;
Dans les oripeaux de la broderie,
Cléopâtre brille en jupe fleurie
Comme resplendit un paon couvert d'yeux.


Puis, tout flamboyants sous les chrysolithes,
Les bruns Adonis et les Hippolytes
Montrent leurs arcs d'or et leurs peaux de loups.


Pierrot s'est chargé de la damejeanne.
Puis après eux tous, d'un air triste et doux
Viennent en rêvant le Poëte et l'Ane. 
 
 
                                                                 Théodore de Banville
 
 
 

 
 
 

 

 

 

 SUR UN BANC 

 

 

 

Dans un square sur un banc
Il y a un homme qui vous appelle quand on passe
Il a des binocles un vieux costume gris
Il fume un petit ninas il est assis
Et il vous appelle quand on passe
Ou simplement il vous fait signe
Il ne faut pas le regarder
Il ne faut pas l’écouter
Il faut passer
Faire comme si on ne le voyait pas
Comme si on ne l’entendait pas
Il faut passer presser le pas
Si vous le regardez
Si vous l’écoutez
Il vous fait signe et rien ni personne
Ne peut vous empêcher d’aller vous asseoir près de lui
Alors il vous regarde et sourit
Et vous souffrez atrocement
Et l’homme continue de sourire
Et vous souriez du même sourire
Exactement
Plus vous souriez plus vous souffrez
Atrocement
Plus vous souffrez plus vous souriez
Irrémédiablement
Et vous restez là
Assis figé
Souriant sur le banc
Des enfants jouent tout près de vous
Des passants passent
Tranquillement
Des oiseaux s’envolent
Quittant un arbre
Pour un autre
Et vous restez là
Sur le banc
Et vous savez vous savez
Que jamais plus vous ne jouerez
Comme ces enfants
Vous savez que jamais plus vous ne passerez
Tranquillement
Comme ces passants
Que jamais plus vous ne vous envolerez
Quittant un arbre pour un autre
Comme ces oiseaux.
 
                                                                   Jacques Prevert

 

 
 
 
 
 

 
 
 

 

 

 

  

 
 

 
 
 
 


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1. titeflamme  le 02-10-2014 à 12:37:27  (site)

Bonjour

jolis textes, couleurs chaudes...De quoi rêver...
Belle et douce journée à toi
bises
Co

2. anaflore  le 02-10-2014 à 23:00:57  (site)

bravo pour la photo du jour

3. jakin  le 03-10-2014 à 07:14:06  (site)

Compliments pour la photo du jour et pour les textes...Bonne fin de journée....smiley_id210602

4. Tipoussin  le 03-10-2014 à 20:03:33  (site)

Bonsoir, très beaux textes et très belles images d'automne. Bon weekend, bises.

5. gil-fraisedesbois  le 03-10-2014 à 21:16:49  (site)

Bonsoir ... des félicitations s'imposent pour l'image du jour ! Votre blog est trés beau .
A bientôt

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posté le lundi 22 septembre 2014

Poemes

 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Quelques Poemes .........
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La terre et l'enfant.
 
 
 
Enfant sur la terre on se traîne,
Les yeux et l'âme émerveillés,
Mais, plus tard, on regarde à peine
Cette terre qu'on foule aux pieds.

Je sens déjà que je l'oublie,
Et, parfois, songeur au front las,
Je m'en repens et me rallie
Aux enfants qui vivent plus bas.

Détachés du sein de la mère,
De leurs petits pieds incertains
Ils vont reconnaître la terre
Et pressent tout de leurs deux mains ;

Ils ont de graves tête-à-tête
Avec le chien de la maison ;
Ils voient courir la moindre bête
Dans les profondeurs du gazon ;

Ils écoutent l'herbe qui pousse,
Eux seuls respirent son parfum ;
Ils contemplent les brins de mousse
Et les grains de sable un par un ;

Par tous les calices baisée,
Leur bouche est au niveau des fleurs,
Et c'est souvent de la rosée
Qu'on essuie en séchant leurs pleurs.

J'ai vu la terre aussi me tendre
Ses bras, ses lèvres, autrefois !
Depuis que je la veux comprendre,
Plus jamais je ne l'aperçois.

Elle a pour moi plus de mystère,
Désormais, que de nouveauté ;
J'y sens mon cœur plus solitaire,
Quand j'y rencontre la beauté ;

Et, quand je daigne par caprice
Avec les enfants me baisser,
J'importune cette nourrice
Qui ne veut plus me caresser.




                                                 René-François Sully Prudhomme. 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De la terre au ciel.


Un rayon de soleil se brise
Sur la branche et sur les buissons.
Je m'assieds à l'ombre, où la brise
M'apporte parfums et chansons :

Parfum de la fraise rougie
Qui tremble sur le vert sentier ;
Chanson — palpitante élégie —
De l'oiseau sur le chêne altier ;

Parfum de la rose sauvage,
Doux trésor du pâtre amoureux ;
Chanson égayant le rivage,
Qui parle à tous les cœurs heureux :

Parfum de la source qui coule
Dans un lit de fleurs ombragé ;
Chanson du ramier qui roucoule,
Et me chante l'amour que j'ai ;

Parfum de l'herbe qui s'emperle
À la brume des soirs d'été ;
Chanson éclatante du merle,
Qui bat de l'aile en sa gaieté ;

Parfum de toute la nature,
Fleur, arôme, ambroisie et miel,
Chanson de toute créature,
Qui parle de la terre au ciel.



                                                  Arsène Houssaye.

 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
Au maître d'un jardin.
 
 
 
De ce chaume heureux possesseur,
De bon cœur, hélas ! que j'envie
Tes travaux, ta philosophie,
Ta solitude et ton bonheur !

Pour prix des soins que tu leur donnes,
Tes arbustes reconnaissants
Et des printemps et des automnes
Te prodiguent les doux présents.

Ô trop heureux qui peut connaître
La jouissance de cueillir
Le fruit que ses soins font mûrir,
La fleur que ses soins ont fait naître !

Toujours la terre envers nos bras
S'est acquittée avec usure.
Qui veut s'éloigner des ingrats
Se rapproche de la nature.

Ne craindre et ne désirer rien,
Etre aimé de l'objet qu'on aime,
C'est bien là le bonheur suprême ;
C'est le sort des dieux, c'est le tien.

Écrit en 1792.



                                                          Antoine-Vincent Arnault. 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 
 

 

 

À Aurore.
 
 
La nature est tout ce qu'on voit,
Tout ce qu'on veut, tout ce qu'on aime,
Tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit,
Tout ce que l'on sent en soi-même.

Elle est belle pour qui la voit,
Elle est bonne à celui qui l'aime,
Elle est juste quand on y croit
Et qu'on la respecte en soi-même.

Regarde le ciel, il te voit,
Embrasse la terre, elle t'aime.
La vérité c'est ce qu'on croit
En la nature c'est toi-même.



                                                               George Sand.
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
Roses d'automne.
 
 
Aux branches que l'air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï du soleil,
Avec plus de langueur et plus de charme encore,
Les roses du parterre ouvrent leur coeur vermeil.

Dans sa corbeille d'or, août cueillit les dernières :
Les pétales de pourpre ont jonché le gazon.
Mais voici que, soudain, les touffes printanières
Embaument les matins de l'arrière-saison.

Les bosquets sont ravis, le ciel même s'étonne
De voir, sur le rosier qui ne veut pas mourir,
Malgré le vent, la pluie et le givre d'automne,
Les boutons, tout gonflés d'un sang rouge, fleurir.

En ces fleurs que le soir mélancolique étale,
C'est l'âme des printemps fanés qui, pour un jour,
Remonte, et de corolle en corolle s'exhale,
Comme soupirs de rêve et sourires d'amour.

Tardives floraisons du jardin qui décline,
Vous avez la douceur exquise et le parfum
Des anciens souvenirs, si doux, malgré l'épine
De l'illusion morte et du bonheur défunt.



                                                                        Nérée Beauchemin. 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 


Commentaires

 

1. titeflamme  le 22-09-2014 à 13:01:36  (site)

Bonjour

J’aime les mots, ils sont porteurs parfois de si belles et douces vibrations...
Joli billet que le tien, "e poème "De la terre au ciel" me fait frissonner...Merci
bises
co

 
 
 
 

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