posté le lundi 21 juillet 2014

Poemes

 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
P O E M E S
 
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Voici quelques poêmes,.......
 
Pour accompagner , les pensées , les songes ..........
 
  Les rêves , sans images .......
 
Pour accompagner,  la musique et entendre la vie sans tumulte ..........
 
Simplement pour que la pensée chante et dissipe la brume ...........
 
Pour  taire ces larmes de la tristesse....
 
Juste pouvoir saisir cette vérité..........
 
Quelques poêmes aux rimes si douces .......
 
Qui donneront à ma pensée cette Justesse .......
 
Où danseront les mots sans joug......
 
Prendre ce chemin sans heurts et révoltes.......
 
Sans aucune frontière et équivoque ....
 
LYNABLUE 
 
 

 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
Soleil Couchant 
 
 
 
 

Les ajoncs éclatants, parure du granit,
Dorent l'âpre sommet que le couchant allume ; 
Au loin, brillante encor par sa barre d'écume, 
La mer sans fin commence où la terre finit.

A mes pieds c'est la nuit, le silence. Le nid 
Se tait, l'homme est rentré sous le chaume qui fume. 
Seul, l'Angélus du soir, ébranlé dans la brume
A la vaste rumeur de l'Océan s'unit.

Alors, comme du fond d'un abîme, des traînes, 
Des landes, des ravins, montent des voix lointaines 
De pâtres attardés ramenant le bétail.

L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, 
Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre, 
Ferme les branches d'or de son rouge éventail.

                                                                            Hérédia
 
 
 
 
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ARTS POETIQUES
 
 

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l'Impair 
Plus vague et plus soluble dans l'air, 
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

Il faut aussi que tu n'ailles point 
Choisir tes mots sans quelque méprise 
Rien de plus cher que la chanson grise 
Où l'Indécis au Précis se joint.

C'est des beaux yeux derrière des voiles
C'est le grand jour tremblant de midi, 
C'est, par un ciel d'automne attiédi, 
Le bleu fouillis des claires étoiles !

Car nous voulons la Nuance encor, 
Pas la Couleur, rien que la nuance ! 
Oh ! la nuance seule fiance 
Le rêve au rêve et la flûte au cor !

Fuis du plus loin la Pointe assassine, 
L'Esprit cruel et le rire impur, 
Qui font pleurer les veux de l'Azur, 
Et tout cet ail de basse cuisine !

Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! 
Tu feras bien, en train d'énergie, 
De rendre un peu la Rime assagie. 
Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ?

0 qui dira les torts de la Rime ! 
Quel enfant sourd ou quel nègre fou 
Nous a forgé ce bijou d'un sou 
Qui sonne creux et faux sous la lime ?

De la musique encore et toujours ! 
Que ton vers soit la chose envolée 
Qu'on sent qui fuit d'une âme en allée 
Vers d'autres cieux à d'autres amours.

Que ton vers soit la bonne aventure 
Éparse au vent crispé du matin 
Qui va fleurant la menthe et le thym... 
Et tout le reste est littérature.

                                                             Verlaine
 
 
 
 
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L'AUTOMNE
 
 

Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure ! 
Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! 
Salut, derniers beaux jours ! le deuil de la nature 
Convient à la douleur et plaît à mes regards !

Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire, 
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, 
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumièr
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !

Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire, 
À ses regards voilés, je trouve plus d'attraits, 
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire 
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !

Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie, 
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d'un regard d'envie 
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !

Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, 
Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau; 
L'air est si parfumé ! la lumière est si pure ! 
Aux regards d'un mourant le soleil est si beau !

Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie 
Ce calice mêlé de nectar et de fiel
Au fond de cette coupe où je buvais la vie, 
Peut-être restait-il une goutte de miel ?

Peut-être l'avenir me gardait-il encore 
Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ? 
Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore 
Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ?...

La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire; 
À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux; 
Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire, 
S'exhale comme un son triste et mélodieux.

                                                             Lamartine
 
 
 

 
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Contre-Jour

 


Les oiseaux apparaissent,

S’allume une flamme

Et c’est la femme ;

 

Sans nom ni liens ni voile,

Errant les yeux clos,

La femme couverte de la fraîcheur de la mer.

 

Mais brusquement les oiseaux réapparaissent

Et s’allonge cette flamme

Plus qu’entr’aperçue au fond de la chambre.

 

Et c’est la mer,

La mer aux bras endormants portant le soleil,

Ni orient ni nord, ni obstacle ni barre, la mer ;

 

Rien que la mer ténébreuse et douce

Tombée des étoiles, témoin des mutilations du ciel,

Solitude, pressentiments, chuchotis,

 

Rien que la mer,

Les yeux éteints,

Sans vague ni vent ni voile.

 

Brusquement les oiseaux réapparaissent ;

Et c’est la femme,

Ni étoile ni rêve, ni geyser ni roue, la femme.

 

Les oiseaux reviennent ;
Et rien que la mer.
 
                                           Mohamed DIB
 
 
 


 
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  Promenade sentimentale


Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes;
Les grands nénuphars entre les roseaux
Tristement luisaient sur les calmes eaux.
Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie
Au long de l'étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix des sarcelles
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j'errais tout seul
Promenant ma plaie; et l'épais linceul
Des ténèbres vint noyer les suprêmes
Rayons du couchant dans ses ondes blêmes
Et les nénuphars, parmi les roseaux,
Les grands nénuphars sur les calmes eaux.


                                                                                                      Paul Verlaine 

 

 

 

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" Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier."

 Paul Claudel

 

 

 

Combien généreuse est la vie pour l'homme, mais combien l'homme se tient éloigné de la vie!

Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/1865/Khalil_Gibran/100.php#Mc3tb36crdig24bA.99


Source citations sur la page Khalil Gibran - Citations et Proverbes de Khalil Gibran - Dicocitations

Combien généreuse est la vie pour l'homme, mais combien l'homme se tient éloigné de la vie!

Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/1865/Khalil_Gibran/100.php#Mc3tb36crdig24bA.99


Source citations sur la page Khalil Gibran - Citations et Proverbes de Khalil Gibran - Dicocitations


 

" Combien néreuse est la vie pour l'homme, mais combien l'homme se tient éloig de la vie ! "

 Khalil Gibran

 

 

 

 

 

 
 
 

 

 

 
 


Commentaires

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1. titeflamme  le 29-07-2014 à 09:42:26  (site)

bonjour,
Ton blog est très porteur...J'aime beaucoup ton univers.
Je suis amatrice de poèmes....Et ton billet est tout ce que j'aime....
Merci pour ce beau partage
Co

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posté le lundi 21 juillet 2014

Définitions ......

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D E F I N I T I O N S :
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G E N O C I D E 
 
 
Extermination systématique d'un groupe humain de même race, langue, nationalité ou religion par racisme ou par folie.
 
 
Destruction d'un peuple, d'une population entière
 
 
Mort violente et rapide d'un grand nombre de personnes. 
 
 
Crime contre l'humanité tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux ;
sont qualifiés de génocide les atteintes volontaires à la vie, à l'intégrité physique ou psychique,
la soumission à des conditions d'existence mettant en péril la vie du groupe,
 
 
 Extermination d'un groupe ethnique. Synonyme massacre
 
 
 
 

La Carte de la Palestine parle d'elle même de 1946 à 2005

Nous sommes en 2014 que reste -t-il de la Palestine ? 

 

 

 

 

 

 

D E F I N I T I O N  :

 

 

 

D I S P A R I T I O N 

 

Action ou fait de disparaître en cessant d'exister.

Action de disparaître; fait de cesser d'être visible.

 

 

E X T E R M I N A T I O N 

 

L'extermination est un processus destiné à détruire physiquement tous les membres d'une population vivante, végétale, animale ou humaine.
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D E F I N I T I O N :
 
 

 V I E 

 

 

La vie est aussi une notion empirique particulièrement importante pour les humains (étant eux-mêmes des êtres vivants), cependant complexe à circonscrire en une définition .
On oppose au phénomène vivant la notion de mort mais aussi de matière inerte, voire brute.
Selon ce point de vue, la notion de vie est associée à la durée s'écoulant entre la naissance et la mort, au contenu événementiel actif et passif de cette période, ainsi qu'à l'approche harmonieuse des relations humaines;
 
 
 
E T R E   H U M A I N S 
 
 
Créature vivante membre de l’espèce humaine. 
 
Un être humain est un être vivant membre de l'espèce humaine. Il se différencie des autres espèces par son mode de déplacement bipède, son langage articulé, ses mains préhensiles et son intelligence développée.
 
 
 
E N F A N T 
 
Un enfant est un être humain, mâle ou femelle, dans sa période de développement située entre la naissance et l'adolescence

L’enfant doit bénéficier d’une protection (...) afin d’être en mesure de se développer d’une façon saine et normale ;

 

 

 

F A M I L L E 

 

Une famille est une communauté d'individus réunis par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines 

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi qu'en 1948, dans l'article 3 de la Déclaration universelle des droits de l'homme :

 

 

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


Commentaires

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1. titeflamme  le 26-07-2014 à 08:15:12  (site)

Bonjour !!!
J'aime beaucoup ton billet et je suis tout à fait d'accord avec toi !!!
Quelle injustice!!
J'ai des amis palestiniens, en ce moment ils vivent l'enfer et personne ou peu se révolte contre cela !!!
et la vie continue...Quelle tristesse ce monde!!
Bizes
Co

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posté le mardi 15 juillet 2014

Peintre William Mangum

 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
WILLIAMMANGUM
 
 
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William Mangum, un des artistes aquarelles les plus populaires et respectés de sa région,

il  est originaire de Caroline du Nord. ( USA )

Bill et son épouse, Cynthia, vivent à Greensboro depuis 30 ans, ils ont  trois enfants.

Il est diplômé des  Arts de Sandhills Community College et possède un  baccalauréat et une maîtrise en beaux-arts de l'University of North Carolina at Greensboro.

Tandis que toujours un étudiant en art à l'Université, Bill tient sa toute  première exposition, dans laquelle il vendrat ses premières oeuvres.

En 1978, Bill a publié son tout premier limited edition impression intitulé « West Jefferson » qui est vendu à 500 exemplaires.

En 1982, il ouvre la Galerie Carey-Mangum, maintenant connu comme William Mangum beaux-arts.

 

 

Bill a produit plus de 3 000 originaux — tous tirés de ses trente années de voyages tout au long de la Caroline du Nord et à l'étranger.

Bill a bâti une solide réputation comme un des artistes plus respectés et recueillies en Caroline du Nord.

Il a publié plus de 300 tableaux gravures de l'édition limitée.

Plus de 50 000 de ses œuvres ont fait leur chemin dans des collections privées et corporatives ! 

 
 
 
 

 

 

 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 

 

 
 
 
 




Les jardins
 
 
 
J'aime la profondeur des antiques forêts,
La vieillesse robuste et les pompeux sommets
Des chênes dont, sans nous, la nature et les âges
Si haut sur notre tête ont cintré les feuillages.
On respire en ces bois sombres, majestueux,
Je ne sais quoi d'auguste et de religieux :
C'est sans doute l'aspect de ces lieux de mystère,
C'est leur profond silence et leur paix solitaire
Qui fit croire longtemps chez les peuples gaulois
Que les dieux ne parlaient que dans le fond des bois.
Mais l'homme est inégal à leur vaste étendue ;
Elle lasse ses pas, elle échappe à sa vue ;
Humble atome perdu sur un si grand terrain,
Même au milieu du parc dont il est souverain,
Voyageur seulement sur d'immenses surfaces,
L'homme n'est possesseur qu'en de petits espaces ;
Au-delà de ses sens jamais il ne jouit ;
S'il acquiert trop au loin, son domaine le fuit ;
Ainsi, fier par instinct, mais prudent par faiblesse,
Lui-même il circonscrit l'espace qu'il se laisse ;
Il vient, sur peu d'arpents qu'il aime à partager,
Dessiner un jardin, cultiver un verger ;
Il met à ces objets ses soins, ses complaisances,
Épie en la saison le réveil des semences ;
Et, parsemant de fleurs le clos qu'il a planté,
Il étend le terrain par la diversité.

Peut-être dans nos jours le goût de l'industrie
Pour la variété prend la bizarrerie.
Dans de vastes jardins l'Anglais offre aux regards
Ce que la terre ailleurs ne présente qu'épars,
Et, sur un sol étroit, en dépit de l'obstacle,
Le Français est jaloux de montrer ce spectacle.
Qui ne rirait de voir ce grotesque tableau
De cabarets sans vin, de rivières sans eau,
Un pont sur une ornière, un mont fait à la pelle,
Des moulins qui, dans l'air, ne battent que d'une aile,
Dans d'inutiles prés des vaches de carton,
Un clocher sans chapelle et des forts sans canon,
Des rochers de sapin et de neuves ruines,
Un gazon cultivé près d'un buisson d'épines,
Et des échantillons de champs d'orge et de blé,
Et, dans un coin de terre, un pays rassemblé ?

Agréables jardins, et vous, vertes prairies,
Partagez mes regards, mes pas, mes rêveries :
Je ne suis ni ce fou qui, de bizarre humeur,
Reclus dans son bosquet, végète avec sa fleur,
Ni cet autre insensé ne respirant qu'en plaines,
Qui préfère à l'oeillet l'odeur des marjolaines.
Je me plais au milieu d'un clos délicieux
Où la fleur, autrefois monotone à mes yeux,
S'est des couleurs du prisme aujourd'hui revêtue ;
Où l'homme qui l'élève et qui la perpétue,
Enrichit la nature en suivant ses leçons,
Et surprend ses secrets pour varier ses dons.

De jour en jour la terre ajoute à ses largesses :
Flore a renouvelé les festons de ses tresses ;
Le chèvrefeuil s'enlace autour des arbrisseaux,
Émaille le treillage et pend à des berceaux ;
Où j'ai vu le lilas et l'anémone éclore,
L'oeillet s'épanouit, la rose se colore.
Un humble et long rempart, formé de thym nouveau,
Sert agréablement de cadre à ce tableau ;
Le myrte et l'oranger, sortis du sein des serres,
De leurs rameaux fleuris décorent les parterres,
Et, sur des murs cachés, les touffes de jasmins
Font disparaître aux yeux les bornes des jardins.
 
 
                                                                                    Antoine-Marin LEMIERRE   (1733-1793)
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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1. 472481  le 16-07-2014 à 16:26:05  (site)

Bonsoir Lyna,

je ne suis pas adepte de ces peintures mais il en faut pour tout les goûts.
Je reste au frais car cette fois-ci l'été est bien là, j'espère que tu vas bien et que tu profite de ces belles journée ensoleillé.
Passe une bonne fin de journée et une bonne soirée.
Gros bisous ensoleillé
Nanou

Hebergeur d'image

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posté le vendredi 11 juillet 2014

Peintre Ivan Alifan Jdanov

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voici les Oeuvres de :

 

 

 

 

 


Ivan Alifan Jdanov

 

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Ivan Alifan Jdanov peintre canadien , il est né en  Russie en 1989 - , vivant actuellement au Canada.

 Il a fréquenté l'Université OCAD à Toronto, Canada, et est le fils  de la très talentueuse

Peintre Russe  Anna Razumovskaya .

 Ivan a récemment participé à la Foire Internationale d'Art de Los Angeles , et avait montré son travail aux côtés de Malcolm Liepke et Jeremy Lipking . Ces dessins au fusain ont un rendu magnifique , des peintures colorées, dessins  broussailleux et énergiques.

Ivan est un artiste extrêmement talentueux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PENSEE PERDUE

 

 

Elle est si douce la Pensée
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée 
S'éveiller tout à coup distrait.

Le coeur dépouillé la réclame ; 
Il ne la fait point revenir, 
Et cependant elle est dans l'âme, 
Et l'on mourrait pour la finir.

A quoi pensais-je tout à l'heure ? 
A quel beau songe évanoui 
Dois-je les larmes que je pleure ? 
Il m'a laissé tout ébloui.

Et ce bonheur d'une seconde, 
Nul effort ne me l'a rendu ; 
Je n'ai goûté de joie au monde 
Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.

                                                                                                       Sully Prudhomme,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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1. jakin  le 12-07-2014 à 05:13:10  (site)

Compliments pour la photo du jour et bonne journée.....smiley_id210602

2. MonnaiesAnciennes  le 12-07-2014 à 07:32:27  (site)

Bonjour et bravo pour la photo du jour bien mérité.
Amicalement
gege66

3. wolfe  le 12-07-2014 à 09:53:51  (site)

Coucou
Félicitations pour la photo du jour!
Les peintures sont magnifiques!
Bisous

4. pouty88  le 12-07-2014 à 10:56:15  (site)

bonjour
bravo pour l' image du jour.
joli article et beau poeme .
bon samedi
pouty

5. wolfe  le 13-07-2014 à 08:57:29  (site)

Bonjour
On m'a dit que la nourriture coréenne était très bonne (je n'y ait jamais goûter) mais qu'elle est extrêmement épicé)
Bisous

6. 472481  le 14-07-2014 à 15:47:28  (site)

Bonjour Lyna,

ces peintures sont magnifique, je découvre je ne connaissais pas du tout.
J'espère que tu vas bien, je suis bien souvent absente avec ma nouvelle vie et toujours mes soucis familiaux, un jour j'espère être plus zen !
Je te souhaite tardivement un bon 14 juillet.
Gros bisous tendresse
Nanou qui pense fort à toi

Hebergeur d'image

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