L'arum, originaire d'Afrique du sud, est une plante vivace à tubercules de la famille des aracées. Son nom botanique est : zantedeschia. Parfaitement adapté à notre climat et très résistant, on le retrouve souvent dans nos forêts et nos jardins.
Contrairement à ce qu'on imagine souvent, les fleurs de ces plantes ne sont pas ce grand cornet solitaire qui émerge des feuilles. Ce sont de toutes petites fleurs sans pétales, logées au fond de cette grande pièce protectrice appelée spathe, sur le pourtour d’un organe en forme de massue appelé spadice. Les fleurs ainsi cachées sont pollinisées (c’est à dire fécondées)   par les insectes qui s’agitent une fois pris au piège par la spathe.

Les Arums se déclinent en rose, en noir , orange, jaune , violet .............

 

 

Jessie Hazel Arms Botke  etait une artiste Américaine .Elle est née à Chicago en 1883, elle est devenue connue  pour ses études sur les oiseaux exotiques, décorés, une grande variété  -le plus souvent,paons blancs, paons bleus,cacatoés, canards ,cygnes, cygnes ,oies ,ect...........

Les oiseaux sont représentés dans les milieux naturels, accompagnés par la flore soigneusement peintes, ses peintures sont richement ornés avec une abondance de détails. 

En 1927  elle c'est installée avec sa famille à Wheeler Canyon prés de Santa Paula en Californie

Elle y vécut jusqu'à sa mort en 1971.

Mars 2015

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Florence Arthaud nous a quitté dans un terrible accident d'hélicoptère, ainsi que 9 autres personnes.

Une Grande Dame , une belle personnalité Naturelle et Vraie,  de Coeur, de Courage et de Force !

La Mer est en Deuil................

J’ai regardé devant moi
Dans la foule je t’ai vue
Parmi les blés je t’ai vue
Sous un arbre je t’ai vue

Au bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l’eau et du feu

L’été l’hiver je t’ai vue
Dans ma maison je t’ai vue
Entre mes bras je t’ai vue
Dans mes rêves je t’ai vue

Je ne te quitterai plus.

                                                         Paul Eluard

Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.

Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.

De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,

On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.